Tu es né un soir de mars
Le ciel était tout blanc
Tu clignais des yeux
Comme pour fuir ce monde haineux
On aurait dit que tu le savais mon vieux
Tu grandis sous les mamelles de ta mère
En observant les rugueux reflets de la mer
Ne sachant pas qu'elle serait un médiateur
Entre l'injustice et la cruauté des hommes, tueurs
Tu regardes chaque jour l'eau
Qui s'approche de toi
De gros bateaux qui errent au large
Et tu ne comprends pas
Tu grandis et remarque que chaque décennie
L'eau grandit
Environ 2 ou 3 centimètres, tu as compris
A ce qu'il parait il y a des îles qui ont péris
L'eau chaude a rongé la glace
Crac, crac, crac
Tu regardes autour et rien
Et là tu te dis que c'est sûrement à cause de ces gros félins
Dont on t'a parlé : LES HUMAINS
Cutty-Lyps, Posté le samedi 09 mai 2009 11:50
:( pove ours... j'y pensai meme plus..